La chute de la maison Sarkozy (Long-métrage français)
The House of Sarkozy
Genre : Fantastique , Drame
Durée : non communiquée
Année de production : non communiquée
Synopsis : Dans une maison où règne une atmosphère étrange, le règne du Président Sarkozy vit ses dernières heures. Son épouse refuse de croire à cette mort.
Actrices et acteurs
Mme Liliane Betancourt : rôle de la veuve héritière et actionnaire principale de L'Oréal, 87 ans , femme la plus riche de France, avec 17 milliards d'euros. Elle n’aurait fait l’objet d’aucune enquête du fisc depuis 1995. Elle aurait financé la campagne de 2007 de l’élection de Mr Sarkozy, et aurait participé au financement illégal de l’UMP. Elle a donné 993 millions d’Euro à Mr F.M Bannier.
Mme Claire Thibout : rôle de la comptable .Elle a retiré 50 000 Euros par semaine pour Mme Bettancourt. Elle affirme devant la police que les Bettancourt avaient l’habitude de financer la droite française, avec des dons de plusieurs dizaines de millions d’Euros en liquide.
Mr Eric Woerth : rôle du Trésorier de l’UMP et de l’ancien ministre du Budget et actuel ministre du Travail (très affaibli).
Mr Nicolas Sarkozy : rôle de l’ancien président de l’UMP et de l’actuel Président de la République Française. Il est "attentif" aux "préoccupations" de la rue.
Mr François-Marie Banier : rôle du photographe et ami de Mme L. Betancourt, a touché près d’un milliard d’Euros de Mme Betancourt.
Mme Françoise Bettancourt-Meyers : rôle de l’administratrice de l’Oréal. Elle intente un procès pour «abus de faiblesse» à l’encontre de Mr F.M Bannier et demande la mise sous tutelle de sa mère Mme L. Bétancourt.
Mr Patrice de Maistre : rôle de l’homme de confiance des Bettancourt, directeur général et gestionnaire de fortune. Il a engagé Mme F. Woerth et reçu la légion d’honneur, par Mr Eric Woerth.
Mme Forence Woerth : rôle de gestionnaire de fortune et d'épouse de Mr Eric Woerth. Elle aurait été embauchée en raison de son statut de femme de ministre.
Mme F. Woerth et Mr P. De Maistre auraient tous deux aidés a dissimuler de l’argent au fisc.
Mr Pascal Bonnefoy : rôle de l’ancien majordome des Bettancourt. Il a enregistré des dizaines d’heures de conversation de Mme Liliane Bettancourt.
Equipe technique : le site Mediapart, le journal Le Monde, la police, le Conseil des ministres, l'intersyndicale (CGT-CFDT-CFTC-CFE/CGC-FSU-Unsa), l’opposition, sans compter les grèves et les manifestations sociales et sur les retraites, et des défilés de 2,7 millions de personnes dans les rues cette semaine en France.
jeudi 9 septembre 2010
mercredi 8 septembre 2010
Il n'y a pas de quoi fouetter un chat
Mêmes si elles ont lieu ailleurs, les traditions et les fêtes ont ceci d’extraordinaire, c’est qu’étant universelles, on peut donc en parler sans être accusé de critiquer la politique étrangère de tel ou de tel État. C’est aussi cela la magie des contes de fées.
Il y a donc depuis quelques temps en France un sujet dont Nicolas Sarkozy et plusieurs de ses amis se seraient passé et qui fait l’actualité.
Il nous a semblé opportun et possible d’y aller de notre commentaire sur ce Blog pour que nos amis ici y comprennent quelque chose à ce que se passe très loin de chez nous.
Pour résumer l’affaire, le site Médiapart et le journal Le Monde affirment que les carnets intimes de l'artiste François-Marie Banier qui ont été saisis par la police relatent des propos tenus par Liliane Bettencourt selon lesquels Nicolas Sarkozy aurait reçu lors de la campagne présidentielle 2007 de l'argent du couple Bettencourt.
Bettancourt c’est le Groupe l’Oreal.
L’Oreal c’est :
- 1 siècle d'expertise cosmétique
- 17,5 milliards d’euros : CA consolidé en 2009
- 23 marques mondiales*
- 130 pays
- 64 600 collaborateurs
- 674 brevets déposés en 2009
* Marques qui réalisent un chiffre d'affaires annuel supérieur à 50 millions d'euros
(infos provenant du site l’Oréal).
Le Groupe l’Oréal, c’est aussi dans le passé l’histoire d’Eugène Schueller, le fondateur, qui s’est illustré en finançant les actions terroristes de la "Cagoule", organisation et clandestine luttant contre le capitalisme libéral, le bolchevisme, le judaïsme et la franc-maçonnerie et l’histoire d’André Bettancourt accusé de collaboration avec les nazis.
Mais Claire Thibout, l’ex-comptable de Liliane Bettencourt, veuve d'André Bettencourt, héritière et première actionnaire du groupe L'Oréal, (elle est en 2010 la troisième fortune française et la plus riche femme en France), affirme que le gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt, Patrice de Maistre, lui a demandé d'effectuer un retrait d'argent en vue du versement de 150 000 euros au trésorier de l'UMP (parti politique auquel appartient le Président Sarkozy) Eric Woerth (actuel ministre du Travail en France ) pour le financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Le gestionnaire de fortune dément une telle remise d'argent.
Pour en revenir aux contes et légendes, et aussi tenter d’expliquer la défense de l’équipe du Président Sarkozy sur le don de 150 000 euros, je traduis pour le lecteur :
C’est l’histoire donc d’une bande de gamins qui nous disent, qu’ils ont refusé un cadeau du père-noël au moment des étrennes.
Voilà, c’est tout. Pas plus compliqué que cela. Vous y croyez vous ?
Et comme tout gamin pris la main dans le sac, je vous pari que l’histoire va finir avec une simple réprimande. Comme quoi on se fait toujours toute une montagne, alors que les choses sont si sont simples à expliquer.
Il y a donc depuis quelques temps en France un sujet dont Nicolas Sarkozy et plusieurs de ses amis se seraient passé et qui fait l’actualité.
Il nous a semblé opportun et possible d’y aller de notre commentaire sur ce Blog pour que nos amis ici y comprennent quelque chose à ce que se passe très loin de chez nous.
Pour résumer l’affaire, le site Médiapart et le journal Le Monde affirment que les carnets intimes de l'artiste François-Marie Banier qui ont été saisis par la police relatent des propos tenus par Liliane Bettencourt selon lesquels Nicolas Sarkozy aurait reçu lors de la campagne présidentielle 2007 de l'argent du couple Bettencourt.
Bettancourt c’est le Groupe l’Oreal.
L’Oreal c’est :
- 1 siècle d'expertise cosmétique
- 17,5 milliards d’euros : CA consolidé en 2009
- 23 marques mondiales*
- 130 pays
- 64 600 collaborateurs
- 674 brevets déposés en 2009
* Marques qui réalisent un chiffre d'affaires annuel supérieur à 50 millions d'euros
(infos provenant du site l’Oréal).
Le Groupe l’Oréal, c’est aussi dans le passé l’histoire d’Eugène Schueller, le fondateur, qui s’est illustré en finançant les actions terroristes de la "Cagoule", organisation et clandestine luttant contre le capitalisme libéral, le bolchevisme, le judaïsme et la franc-maçonnerie et l’histoire d’André Bettancourt accusé de collaboration avec les nazis.
Mais Claire Thibout, l’ex-comptable de Liliane Bettencourt, veuve d'André Bettencourt, héritière et première actionnaire du groupe L'Oréal, (elle est en 2010 la troisième fortune française et la plus riche femme en France), affirme que le gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt, Patrice de Maistre, lui a demandé d'effectuer un retrait d'argent en vue du versement de 150 000 euros au trésorier de l'UMP (parti politique auquel appartient le Président Sarkozy) Eric Woerth (actuel ministre du Travail en France ) pour le financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Le gestionnaire de fortune dément une telle remise d'argent.
Pour en revenir aux contes et légendes, et aussi tenter d’expliquer la défense de l’équipe du Président Sarkozy sur le don de 150 000 euros, je traduis pour le lecteur :
C’est l’histoire donc d’une bande de gamins qui nous disent, qu’ils ont refusé un cadeau du père-noël au moment des étrennes.
Voilà, c’est tout. Pas plus compliqué que cela. Vous y croyez vous ?
Et comme tout gamin pris la main dans le sac, je vous pari que l’histoire va finir avec une simple réprimande. Comme quoi on se fait toujours toute une montagne, alors que les choses sont si sont simples à expliquer.
samedi 4 septembre 2010
Les Pots
Pas besoin de rejoindre Robin dans la forêt de Sherwood pour vivre de grandes aventures
Le 1er septembre 2010, le Blog Kelhandicap inaugurait sa naissance sur le Web en mettant en ligne sur son Blog un commentaire intitulé «Abus de Videotron».
Ce article rappelait à toute personne propriétaire d’une habitation le droit pour lui de demander à Videotron, comme à toutes autres compagnies privées, de retirer de sa propriété les câbles et accessoires non invités ou inutiles pour l’occupant propriétaire, au titre de la liberté et des droits sur la propriété.
Le rédacteur de l’article avait lui-même demandé et obtenu (il est vrai après plusieurs mois) le décrochage des câbles appartenant à Videotron des murs de sa maison.
Nous regrettions aussi pour l’emploi au Quebec, que Videotron utilise des plateformes situées à l’étranger pour répondre aux appels des clients. Elle n’est pas la seule à opérer ainsi au détriment de l’emploi local.
Dans la crainte peut-être que notre demande soit suivie par le public, la compagnie Videotron représentée par son avocate (et qui plus tôt au téléphone, nous demandait de lui accorder un peu de temps pour prétendument l’aider à dénouer un dossier de réclamation qui fait tâche dans le paysage de la compagnie) nous a enjoint par lettre en date du 3 septembre 2010, de supprimer du Blog le commentaire en ligne intitulé «Abus de Videotron».
Une tentative de la part de la 1er compagnie de communication au Québec et au Canada de museler une liberté d’expression, problème d'égo ou bien bataille des pots ?
Selon les termes de la lettre de l’avocate de Videotron, la compagnie «considére que les propos (du texte Abus de Videotron) sont de nature à porter atteinte à sa réputation en laissant faussement croire que celle dernière viole impunément les droits des citoyens ou abuse d’eux alors qu’il n’en rien» …. «Videotron demande donc de cesser sans délai la diffusion de ce texte qui porte atteinte à la réputation de Videotron».
Le rédacteur du Blog est d’autant plus surpris par la lettre de l’avocate de Videotron que le 2 septembre 2010, nous avions pris l’initiative de contacter par courriel Monsieur Robert Depatie, President de Videotron pour l’informer d’un dysfonctionnement de ses services et lui donnions le lien internet de l’article en question.
Le 2 septembre 2010, Monsieur Robert Depatie nous avait alors adressé en réponse ce courriel :
Bonjour Monsueur. …,
Je suis vraiment désolé de tout ce que cette malencontreuse situation a pu vous occasionner.
J'ai contacte mon vice -président service a la clientèle qui va s'assurer de régler le tout.
Encore une fois je tiens a m'excuser en mon nom personnel Ainsi que celui de videotron
Recevez mes sincères salutations.
De notre côté, le même jour, nous lui répondions :
Bonjour monsieur Robert Depatie
Je vous adresse très brièvement à mon tour mes remerciements pour votre message.
Sachez que vous êtes bien le seul de votre compagnie à avoir eu la courtoisie de nous adresser des excuses en l'espace de 10 jours.
Je pense que vous serez d'accord avec moi pour confirmer que la première entreprise de communication au Québec a encore beaucoup d'efforts à fournir pour devenir une grande entreprise.
….l'ouverture étant faite avec vous, je me permets de compter sur vous pour poursuivre une relation agréable. Bien cdlt
Tout dans cet échange courriel et nos conversations telephoniques nous laissait croire que l’avenir s’annonçait courtois et harmonieux.
Les propos de l’article du Blog ne semblaient pas alors, pour le President de Videotron et son Vice-President service clientèle, être de nature à porter atteinte à réputation de Videotron, comme le prétend l’avocate de Videotron.
C’est donc contre toute attente et bien soudainement, sans montrer un seul signe visible de subir de notre part une atteinte à la répution que Videotron nous adresse sa lettre datée du 3 septembre 2010, déposée par porteur et nous menace.
A reception de sa lettre du 3 septembre 2010, force est de constater que la compagnie est encline à adopter plusieurs visages.
Le recours collectif engagé par l’Union des Consommateurs contre Videotron en 2007 arrivait à cette impression.
Nous ne savons plus quel est le vrai visage de Videotron, et sur quel discours nous pouvons compter.
Nous nous apercevons qu'il devient aussi traditionnel pour Videotron de menacer lorsqu'il est pointé des dysfonctionnements de l’entreprise au lieu de régler les problèmes pour le meilleur intérêt de tous.
Ne pouvant donc normalement compter sur une volonté de Videotron pour ensemble faire évoluer les choses dans l'intéret du public et des consommateurs, le rédacteur du Blog décide donc de faire diligence, en cessant la diffusion du commemntaire «Abus de Videotron» à la demande de la compagnie Videotron.
A cet effet, nous préparons une réponse écrite à Videotron, laquelle sera dans les jours prochains mise en ligne sur le Blog . Cette lettre ouverte aura l’avantage de rentrer dans des détails en nous servant de faits, événements et documents (lettres, imprimés commerciaux, document sonore...) irréfutables et sans que Videotron ne puisse en contester aucun.
Le choix brutal imposé par Videotron de supprimer l’article du Blog nous obligera à livrer au public sur le Blog des éléments laissés à l'appréciation du public sur l’attitude de Videotron.
Nous voyons donc dans la demande de Videotron, de cesser la diffusion du texte Abus de Videotron, et que nous acceptons, l’opportunité pour le Blog d’améliorer l’information offerte au public en restant fidele à notre objectif.
vendredi 3 septembre 2010
La police veille sur vous mesdames
Mercredi 1er septembre vers 23 heures 30, Marie rentre chez elle après être allée écouter un concert de jazz d’une de ses amies. En sortant du métro, elle est suivie par un inconnu jusqu’à son domicile au cœur du Plateau à Montréal.
En rentrant chez elle, elle ferme la porte mais ne la barre pas, permettant à la baby-sitter de partir au plus vite. Une fois dans les lieux, Marie prévient la baby-sitter de son arrivée et sur ses pas elle découvre dans le vestibule de sa maison, l’homme qui la suivait.
L’homme est très clair, il annonce la couleur : « j'ai une érection, faut que je reste ici».
S’agrippant à Marie et à la tablette de l’entrée, l’homme reste cramponné à son projet. Marie (qui n’a pas le physique d’une athlète) reste calme et lui dit qu’il doit sortir tout en ouvrant la porte. Elle le pousse avec vigueur et détermination dans la rue, puis appelle la police, après s’être barricadée.
L’inconnu reste devant sa porte. Il marmonne sa déception et clame ses besoins non assouvis. Puis il se met devant les fenêtres de la maison, cogne à la vitre, demande à re-rentrer et tente d’ouvrir maintenant la fenêtre. La police n’est toujours pas là.
Marie rappelle la police alors que son premier appel a été adressé il y a bien déjà 20 minutes. Finalement, au deuxième appel, soit près de 25 minutes après les faits, une voiture de police arrive au domicile de Marie.
L’homme est toujours devant les fenêtres de Marie. La police l’embarque pour « l’amener un peu plus loin » (sic).
Épilogue : Ne dites plus "Mais que fait la police ?..." . Dites plutôt "Mais qu’a fait Marie?..."
Mesdames, il vous faut compter sur la police.
Mais peut-on en vouloir à cette mère de trois jeunes enfants et qui a déjà « fait sa job » (expression québécoise) de refuser au Maire de la ville la joie d'être parrain d'un nouveau petit ?
Qui était cet homme ? L’emmener un peu plus loin ?
Non, vous n’aiderez pas à régler un manque de démographie au Québec ainsi.
En rentrant chez elle, elle ferme la porte mais ne la barre pas, permettant à la baby-sitter de partir au plus vite. Une fois dans les lieux, Marie prévient la baby-sitter de son arrivée et sur ses pas elle découvre dans le vestibule de sa maison, l’homme qui la suivait.
L’homme est très clair, il annonce la couleur : « j'ai une érection, faut que je reste ici».
S’agrippant à Marie et à la tablette de l’entrée, l’homme reste cramponné à son projet. Marie (qui n’a pas le physique d’une athlète) reste calme et lui dit qu’il doit sortir tout en ouvrant la porte. Elle le pousse avec vigueur et détermination dans la rue, puis appelle la police, après s’être barricadée.
L’inconnu reste devant sa porte. Il marmonne sa déception et clame ses besoins non assouvis. Puis il se met devant les fenêtres de la maison, cogne à la vitre, demande à re-rentrer et tente d’ouvrir maintenant la fenêtre. La police n’est toujours pas là.
Marie rappelle la police alors que son premier appel a été adressé il y a bien déjà 20 minutes. Finalement, au deuxième appel, soit près de 25 minutes après les faits, une voiture de police arrive au domicile de Marie.
L’homme est toujours devant les fenêtres de Marie. La police l’embarque pour « l’amener un peu plus loin » (sic).
Épilogue : Ne dites plus "Mais que fait la police ?..." . Dites plutôt "Mais qu’a fait Marie?..."
Mesdames, il vous faut compter sur la police.
Mais peut-on en vouloir à cette mère de trois jeunes enfants et qui a déjà « fait sa job » (expression québécoise) de refuser au Maire de la ville la joie d'être parrain d'un nouveau petit ?
Qui était cet homme ? L’emmener un peu plus loin ?
Non, vous n’aiderez pas à régler un manque de démographie au Québec ainsi.
jeudi 2 septembre 2010
Le Québec en panne (politique).
Combien de temps est-il nécessaire aux Québécois, peuple qui adore les chars, pour se résoudre à changer de monture ?
Je comprends que l’on puisse aimer les « anciennes » (se dit pour les voitures de collections) et adorer rouler avec durant les périodes de congés.
Mais delà à embarquer la famille pour une longue route (et aussi étant donné l’état des routes au pays), il y a comme de l’inconscience, non ?
Ça ne donne pas envie de monter là-dedans.
On a vu ce qui arrive lorsqu’on s’endort au volant.
A mon avis, il y a des tickets qui se perdent.
Je comprends que l’on puisse aimer les « anciennes » (se dit pour les voitures de collections) et adorer rouler avec durant les périodes de congés.
Mais delà à embarquer la famille pour une longue route (et aussi étant donné l’état des routes au pays), il y a comme de l’inconscience, non ?
Ça ne donne pas envie de monter là-dedans.
On a vu ce qui arrive lorsqu’on s’endort au volant.
A mon avis, il y a des tickets qui se perdent.
mercredi 1 septembre 2010
La fédération CJA et le mur du çon
La fédération CJA qui titre sur son site internet « FEDERATION CJA : Au coeur de l’entraide » a franchi le mur du çon.
Voici l’histoire : la famille, que nous appellerons ici Feldman, décide de quitter la France pour s’établir au Québec, après avoir été victime à leur domicile en France dans leur pays d’origine d’une agression antisémite très grave et qui a été relayée par plusieurs médias. La famille Feldman se fait connaître auprès de l’agence JIAS (Jewish Immigrant Aid Services) qui fait partie de CJA.
CJA est l’entité centrale de financement, de planification et de coordination des services offerts à la communauté juive de Montréal.
La famille Feldman est composée de Jean qui est juif non pratiquant, de Chantal qui est protestante non pratiquante et leurs deux enfants. L’agence JIAS, qui connaît la situation et les origines de la famille, promet à la famille Feldman qui débarque en terre inconnue et sans emploi, un bouquet de services d’aide. Parmi les services offerts, l’aide à la recherche d’un emploi est proposé à la famille Feldman.
Chantal se rend à un rendez-vous à l’agence JEM (Jewish Employment Montreal, nouvellement OMETZ) agence spécialisée pour l’aide à l’emploi de CJA pour une réunion d’information. Plusieurs jours de réunion sont prévus pour aider les personnes en recherche d’emploi. Comme tous les autres invités à leur arrivée, Chantal donne son nom et son prénom. Chantal crée à son insu et contre toute attente le trouble parmi les organisateurs en donnant son prénom et son nom de famille. Son prénom et son nom sont de consonance chrétienne. Elle a également de très beaux yeux d’un bleu très clair, ce qui ne l’aide tout à fait pas à se fondre dans le groupe.
Le soir même, Chantal reçoit un appel téléphonique des responsables de JEM lui demandant si elle est convertie au judaïsme et si elle est mariée à monsieur Feldman.
Les responsables de JEM éconduisent alors Chantal qui n’est ni mariée ni convertie au judaïsme et l’informent par téléphone de sa sortie du groupe. Elle ne peut revenir demain pour bénéficier des services.
Notons au passage que :
Chantal a été le moteur dans l’immigration de la famille en ayant subi l’agression antisémite à son domicile qui la touchait au même titre que ses enfants et son conjoint.
La situation mixte de la famille Feldman a toujours été connue de JIAS et de JEM, agences CJA. En effet, la famille Feldman, avant même leur immigration, avait pris le soin de poser la question à la JIAS si elle pouvant bénéficier des services des agences de CJA compte-tenu des origines chrétiennes de Chantal.
L’agence JIAS avait inscrite Chantal sous son nom de jeune-fille et son prénom à la session de JEM, en assurant que toute la famille Feldman était bénéficiaire des programmes d’aides aux nouveaux immigrants, puisqu’au moins l’un des 2 parents, en l’occurrence Jean, était juif.
Jean et Chantal sont offusqués par l’accueil qui leur a été réservé.
Jean est petit-fils de déportés. Sa mère a été orpheline à 17 ans à la suite de la déportation de ses 2 parents et de son petit frère âgé de 7 ans. Le père de Jean, juif a été résistant et combattant volontaire durant la seconde guerre mondiale. Il s’est enrôlé sous un nom d’emprunt dans la police de Vichy à Lyon pour agir caché dans la résistance et sauver de nombreuses personnes sans distintion de classe et de confession, tout en mettant sa propre famille en péril. Son propre oncle était l'un des responsables du Bund (parti socialiste laïque juif dont la plupart des membres ont été anéanti avec la Shoah) arrêté et déporté à Lyon par Klaus Barbie.
Quant au père de Chantal, il a été décoré de l’Ordre de la Légion d’honneur pour avoir été l’un des plus jeunes résistants de France.
La famille Feldman (dont la famille en Europe a payé le prix du sang durant la guerre mondiale) qui a dû fuir la France après avoir subi un grave acte antisémite à leur propre domicile est terriblement outragée par la Communauté juive de Montréal.
Pour finir, Chantal, exclue des services d’aide à l’emploi de CJA, a trouvé elle-même un emploi en répondant aux annonces de sites internet québécois.
Il y a aujourd'hui entre 500.000 et 575.000 juifs en France, selon que l'on prend en compte ou non les personnes non juives (à commencer par les conjoints) vivant dans le ménage. La mixité du couple Feldman n’est pas unique et représente au sein de la population juive de France près 40%.
Cette exogamie pour les familles juives d’Europe a essentiellement son origine dans les effets de la déportation. Une souffrance de la déportation qui s’est transmise aux descendants et qui, s’il on en juge à son attitude à l’égard de la famille Feldman, est totalement inconnue de la Communauté juive de Montréal.
Et aussi, une exogamie qui continue de prendre de l'ampleur parmi les juifs de France compte-tenu de l’antisémitisme (quel que soit son bord politique) toujours virulent.
Pour le coup, la Communauté juive de Montréal devrait revoir ses prévisions à la baisse pour ses budgets d’aide à l’immigration. A moins que l’aide aux nouveaux immigrants ne soit pas réellement son vrai objet.
A qui dira encore que les juifs se serrent les coudes, il est toujours intéressant de se remémorer l’histoire. Le crédo sioniste des juifs américains fut noir.
La Jérusalem de l’Amérique-du-Nord n’existe plus et a été détruite par les propres enfants des premiers immigrants juifs.
Apathie, indifférence de la part des dirigeants de la Commauté juive de Montréal s'opposent au sens du combat voulu par les fondateurs, leurs parents.
La communauté juive de Montréal est devenue un mouvement chargé de levées des fonds . On y vend l’or du Temple.
Qu’elle a été l’attitude des juifs d’Amérique du nord et notamment du Canada à l’égard de ceux d’Europe durant la seconde guerre mondiale ?
Il ne me vient pas à l'esprit de noms de grandes familles juives bourgeoises du Canada qui aient été exemplaires en venant en aide aux juifs des ghettos et de la déportation. Qui peut citer le nom d'un seul juif canadien qui se soit distingué en apportant son assistance aux victimes de la persécution contre les juifs en Europe ?
Non, plus riche on est, plus indigeste on est.
Il est vrai qu’avec 6.000.000 victimes, s’est posé peut-être alors le problème de l’embarras du choix.
La chance des juifs américains et de beaucoup d'autres est qu'en l'état actuel des travaux sur l'ADN, les vrais coupables moraux échappent aux recherches de responsables.
Voici l’histoire : la famille, que nous appellerons ici Feldman, décide de quitter la France pour s’établir au Québec, après avoir été victime à leur domicile en France dans leur pays d’origine d’une agression antisémite très grave et qui a été relayée par plusieurs médias. La famille Feldman se fait connaître auprès de l’agence JIAS (Jewish Immigrant Aid Services) qui fait partie de CJA.
CJA est l’entité centrale de financement, de planification et de coordination des services offerts à la communauté juive de Montréal.
La famille Feldman est composée de Jean qui est juif non pratiquant, de Chantal qui est protestante non pratiquante et leurs deux enfants. L’agence JIAS, qui connaît la situation et les origines de la famille, promet à la famille Feldman qui débarque en terre inconnue et sans emploi, un bouquet de services d’aide. Parmi les services offerts, l’aide à la recherche d’un emploi est proposé à la famille Feldman.
Chantal se rend à un rendez-vous à l’agence JEM (Jewish Employment Montreal, nouvellement OMETZ) agence spécialisée pour l’aide à l’emploi de CJA pour une réunion d’information. Plusieurs jours de réunion sont prévus pour aider les personnes en recherche d’emploi. Comme tous les autres invités à leur arrivée, Chantal donne son nom et son prénom. Chantal crée à son insu et contre toute attente le trouble parmi les organisateurs en donnant son prénom et son nom de famille. Son prénom et son nom sont de consonance chrétienne. Elle a également de très beaux yeux d’un bleu très clair, ce qui ne l’aide tout à fait pas à se fondre dans le groupe.
Le soir même, Chantal reçoit un appel téléphonique des responsables de JEM lui demandant si elle est convertie au judaïsme et si elle est mariée à monsieur Feldman.
Les responsables de JEM éconduisent alors Chantal qui n’est ni mariée ni convertie au judaïsme et l’informent par téléphone de sa sortie du groupe. Elle ne peut revenir demain pour bénéficier des services.
Notons au passage que :
Chantal a été le moteur dans l’immigration de la famille en ayant subi l’agression antisémite à son domicile qui la touchait au même titre que ses enfants et son conjoint.
La situation mixte de la famille Feldman a toujours été connue de JIAS et de JEM, agences CJA. En effet, la famille Feldman, avant même leur immigration, avait pris le soin de poser la question à la JIAS si elle pouvant bénéficier des services des agences de CJA compte-tenu des origines chrétiennes de Chantal.
L’agence JIAS avait inscrite Chantal sous son nom de jeune-fille et son prénom à la session de JEM, en assurant que toute la famille Feldman était bénéficiaire des programmes d’aides aux nouveaux immigrants, puisqu’au moins l’un des 2 parents, en l’occurrence Jean, était juif.
Jean et Chantal sont offusqués par l’accueil qui leur a été réservé.
Jean est petit-fils de déportés. Sa mère a été orpheline à 17 ans à la suite de la déportation de ses 2 parents et de son petit frère âgé de 7 ans. Le père de Jean, juif a été résistant et combattant volontaire durant la seconde guerre mondiale. Il s’est enrôlé sous un nom d’emprunt dans la police de Vichy à Lyon pour agir caché dans la résistance et sauver de nombreuses personnes sans distintion de classe et de confession, tout en mettant sa propre famille en péril. Son propre oncle était l'un des responsables du Bund (parti socialiste laïque juif dont la plupart des membres ont été anéanti avec la Shoah) arrêté et déporté à Lyon par Klaus Barbie.
Quant au père de Chantal, il a été décoré de l’Ordre de la Légion d’honneur pour avoir été l’un des plus jeunes résistants de France.
La famille Feldman (dont la famille en Europe a payé le prix du sang durant la guerre mondiale) qui a dû fuir la France après avoir subi un grave acte antisémite à leur propre domicile est terriblement outragée par la Communauté juive de Montréal.
Pour finir, Chantal, exclue des services d’aide à l’emploi de CJA, a trouvé elle-même un emploi en répondant aux annonces de sites internet québécois.
Il y a aujourd'hui entre 500.000 et 575.000 juifs en France, selon que l'on prend en compte ou non les personnes non juives (à commencer par les conjoints) vivant dans le ménage. La mixité du couple Feldman n’est pas unique et représente au sein de la population juive de France près 40%.
Cette exogamie pour les familles juives d’Europe a essentiellement son origine dans les effets de la déportation. Une souffrance de la déportation qui s’est transmise aux descendants et qui, s’il on en juge à son attitude à l’égard de la famille Feldman, est totalement inconnue de la Communauté juive de Montréal.
Et aussi, une exogamie qui continue de prendre de l'ampleur parmi les juifs de France compte-tenu de l’antisémitisme (quel que soit son bord politique) toujours virulent.
Pour le coup, la Communauté juive de Montréal devrait revoir ses prévisions à la baisse pour ses budgets d’aide à l’immigration. A moins que l’aide aux nouveaux immigrants ne soit pas réellement son vrai objet.
A qui dira encore que les juifs se serrent les coudes, il est toujours intéressant de se remémorer l’histoire. Le crédo sioniste des juifs américains fut noir.
La Jérusalem de l’Amérique-du-Nord n’existe plus et a été détruite par les propres enfants des premiers immigrants juifs.
Apathie, indifférence de la part des dirigeants de la Commauté juive de Montréal s'opposent au sens du combat voulu par les fondateurs, leurs parents.
La communauté juive de Montréal est devenue un mouvement chargé de levées des fonds . On y vend l’or du Temple.
Qu’elle a été l’attitude des juifs d’Amérique du nord et notamment du Canada à l’égard de ceux d’Europe durant la seconde guerre mondiale ?
Il ne me vient pas à l'esprit de noms de grandes familles juives bourgeoises du Canada qui aient été exemplaires en venant en aide aux juifs des ghettos et de la déportation. Qui peut citer le nom d'un seul juif canadien qui se soit distingué en apportant son assistance aux victimes de la persécution contre les juifs en Europe ?
Non, plus riche on est, plus indigeste on est.
Il est vrai qu’avec 6.000.000 victimes, s’est posé peut-être alors le problème de l’embarras du choix.
La chance des juifs américains et de beaucoup d'autres est qu'en l'état actuel des travaux sur l'ADN, les vrais coupables moraux échappent aux recherches de responsables.
«Ni rire ni pleurer mais comprendre» Spinoza
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